Back for you, my friends !

25 septembre 2015

Mes chers concitoyens,

J'ai beaucoup hésité mais mon fidèle Premier m'a convaincu: - Président a-t-il dit sans rire, dans le moment actuel, le pays attend encore beaucoup de vous,  il suffit d'écouter la rue.Vous devriez reprendre la plume car ce que vous ne savez pas faire, vous en parlez drôlement bien. - Tu crois, Manolo ai-je dit ? N'est ce pas un peu tard ? - Vous voulez rire ? Il vous reste 18 mois pour expliquer à quel point la politique que nous menons - la vôtre donc - est originale et efficace. - Oui mais la courbe, mes engagements ?... - Justement ! Vous êtes tellement risible...De toutes façons, si vous ne le faites, pas, comptez sur moi pour charger la barquasse. Ne suis-je pas votre meilleur joker et votre plus fidèle ami ? - Si fait, mon bon, si fait...Je suis sûr que c'est un bon conseil.

J'aime bien Manolo, il me donne des bonnes idées. J'ignore à quoi je lui sers mais de mon côté c'est clair: sans lui, je tombe du pédalo. Et puis...j'aime bien ces petites chroniques: elles ne me démentent jamais, elles disent combien je suis grand, elles tracent le sillon de l'histoire. C'est beau.

Et donc: je recommence !  Normal d'ailleurs: je suis François, encore Président, et il me revient le privilège de la grandeur, de la décision et de l'écriture. Dans ce monde agité, je tiens le manche et poursuis le cap de mes oeuvres et c'est comme cela que j'entends faire. Sachez donc, pour commencer ce soir, que le manche est bien tenu. Pour la suite, vous pouvez compter sur moi, je ne vous ai jamais menti et il n'y a pas tellement de chances que cela change.  

A très vite !

F.